Alpaga, un animal timide, curieux, tellement attachant

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Originaire du Pérou où on le retrouve en grande quantité, l’alpaga fait partie de l’une des quatre espèces de camélidés des Andes. Comme son ancêtre la vigogne, l’alpaga vit en haute altitude dans des conditions arides et parfois difficiles.

Dans le monde

Il existe deux races d’alpagas : Le Suri et le Huacaya, cette dernière étant celle que l’on retrouve en plus grand nombre dans le monde. La toison constitue leur principale différence : celle de l’huacaya est lisse et douce alors que celle de Suri est torsadée et soyeuse. Les deux fibres sont jolies, il s’agit d’une question de goût.

Au Québec

Arrivé en Amérique du Nord dans les années 80-90, l’alpaga est encore peu connu au Québec. Des élevages ont vu le jour depuis quelques décennies mais ils sont encore peu nombreux. L’animal s’acclimate très bien aux hivers québécois, protégé par sa chaude toison. Grâce à la thermorégulation, il se tient aussi au frais quand le mercure est à la hausse l’été.

L’élevage des alpagas

Les alpagas sont grégaires. Une hiérarchie s’installe entre eux. Timides et curieux à la fois, ils communiquent entre eux par petits sons que l’on appelle le «humming» . En cas de danger un bruit strident de l’animal avertit le troupeau d’un risque potentiel. Et si parfois on le voit cracher, il s’agit davantage de rappeler à un de ses congénères de respecter la hiérarchie plutôt que de viser l’humain.

La femelle est gestante en moyenne 345 jours avant de donner naissance à un cria. Elle en prend soin pendant six mois avant d’être sevré. Idéalement, les naissances sont entre mai et août permettant au cria de profiter de la température clémente et d’avoir une toison fournie l’hiver venu.

L’alpaga a aussi fière allure, une beauté, un style et un calme qui le rendent tellement attachant !

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